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3 février 2007 6 03 /02 /février /2007 13:17

 

Quand on s’ouvre à la vie et aux autres, il ne faut pas avoir peur de d’être chamboulé et perdu. C’est une réalité qui n’est pas facile a accepté, surtout quand on vient de perdre sa carapace ! Une rencontre a fait naître en moi les éblouissements et les émerveillements d’un amour naissant, mais elle a été accompagné d’inquiétudes et les doutes sur ma capacité à vivre cet éventuel relation. Cependant l’espérance a accompagné un temps ce rêve d’impossible.

 

La vie est porteuse d’espoir si l’on sait accepter ses leçons. Mais parfois on baisse les bras, il faut ensuite puiser au fond de soi pour relativiser la perte et se dire qu’il y aura des jours meilleurs.

 

 

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21 janvier 2007 7 21 /01 /janvier /2007 09:47

 

Quand des vérités sortent de la bouche des autres j’ai encore plus de mal à les accepter. L’incohérence et l’opposition qui m’habitent deviennent insupportable surtout quand on me dit qu’il n’y a rien à faire que je dois ouvrir les yeux et laisser tomber mon rêve !

 

Ca voudrait dire que je ne suis pas une battante ? Cela voudrait dire que la réalisation des rêves n’est que pour les autres ?

 

La part de bonheur est – elle un dû, ou doit-on aller la chercher ?

 

Ne pas laisser les autres me dire ce que je dois faire, et briser l’infime espoir qui m’habite. Une partie de moi a été réveillé, car je ne veux pas qu’une personne de plus me dise ce que j’ai à faire et que je ne veux pas me laisser faire !

 

Mais malgré ça, j’ai encore du mal à voir l’issue positive, je n’arrive pas à trouver un semblant de solution et de réponse. Mais je me rends compte que la solution ou la réponse n’est pas en moi, et que j’aurai beau chercher en moi, je ne trouverai pas. Je me perds dans les questions et les doutes, car j’ai peur.

 

 

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18 janvier 2007 4 18 /01 /janvier /2007 21:06

La vie s’écoule doucement, pas besoin d’aller bien loin et rencontrer des milliers de personnes pour être bouleversée. Je suis une personne très simple qui aime les choses simples. Je n’ai jamais aspiré à vivre de grandes aventures, cependant j’aspire à de grande rencontre. La vie a mi devant moi, l’homme idéal ! Oui idéal, en apparence, car au final je le connais peu. Ce qui est étrange c’est que si j’étais un homme j’aurai rêvé de lui ressembler.

 

J’ai osé lui dire qu’il avait de grandes ailes (Je pense que ça lui à fait plaisir), j’ai une profonde admiration pour ce qu’il est, j’admire pour la première fois un homme !! Moi que rien n’ébranle, je ne suis pas facilement impressionnable, mais là j’avoue que tout me plait en lui tout ! Sans attache, libre d’aller là ou son cœur lui dicte, je me retrouve devant mon opposé, il a de grandes ailes et j’ai l’impression d’avoir des boulets.

 

Oui moi qui souhaite être détaché de tout, je rencontre l’être que j’aurai souhaité être. Alors quoi de pire que laisser insensible, l’homme merveilleux. La première chose c’est de ne pas se laisser abattre, c’est ce que je me dis, mais je voudrais juste prendre ce que la vie me donne sans rien attendre plus, un discussion simple, et surtout sentir que le monde est aussi peuplé d’homme merveilleux, j’avoue que je n’y croyais presque plus.

 

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6 décembre 2006 3 06 /12 /décembre /2006 13:33

 

J’essaie depuis quelques jours de combattre ma susceptibilité, de relativiser, je ne me dis pas que j’ai tord de me vexer, mais je me dis que je ne devrais pas me vexer à ce point, mais simplement, que les réflexions et les attitudes de ses autres ne devraient pas m’atteindre à ce point. Je veux un peu plus de légèreté, dans ma vie tout simplement...

 

La vie fait que parfois nous sommes confronté à ses miroirs que sont les autres et qui fait que nous n’avons peur de voir notre reflet. Mais il existe une chose que les autres peuvent refléter : ce que l’on a peur de devenir…

 

Cependant, il faut voir cela comme une sonnette d’alarme, comme si on voyait à travers les yeux du destin, qui me dit attention, si tu ne règles pas se soucis maintenant, tu risques toi aussi d’en arriver là !

 

Alors j’apprends des erreurs des autres pour le peu qu’elles me touchent…
Il y a deux jours, je suis allée prendre des nouvelles d’une collègue à moi. Et en espérant la revoir vite parmi nous, on m’annonce qu’elle est internée. J’ai été très surprise, car je ne pensais pas que c’était aussi grave. Cette femme est sous anti-dépresseur, depuis quelques années déjà. Mes collègues n’étaient pas étonnés, ils se demandent même pourquoi elle travaille encore. Personnellement, au départ j’ai eut du mal à accepter qu’une personne soignée, suivie par des spécialistes puisse retournée à la case départ ! Elle fait beaucoup d’effort pour que tout aille bien avec ses collègues, et il n’y ait aucun souci. Pourtant, être stabilisé ne veux pas dire que l’on ne peut pas re-sombrer. Cette femme a tout pour être heureuse : un mari qui lui cède tout et très belle homme, cinq enfants merveilleux selon elle, qui font de brillante étude. Elle vie dans l’un des plus beau quartier de la ville. Elle travaille avec des petits enfants très affectueux, avec qui ça se passe très bien.

 


Côté collègue, elle a réussit à retrouver sa collègue avec qui elle est si complice. Ses autres collègues sont très professionnelles, et très poli, pourtant, en se confiant à nous elle nous a dit qu’elle avait l’impression de ne pas faire partie de l’équipe enseignante… Elle s’est senti rejeté, j’ai même constaté qu’elle s’inventait des petits détails la conduisant à penser qu’on lui refuse tout,pour elle c’est bien réelle, je l’ai vu dans ses yeux, et elle-même fut un instant étonnée, quand je lui est fait une petite remarque.

 

Pour être à la hauteur de ses autres collègues elle a voulut faire des heures en plus, et là ça a été la goutte d’eau qui a fait débordé son vase, étant très fragile, elle n’a pas tenu le coup.

 

Son histoire je ne la raconte pas par plaisir, mais parce que je vois une similarité avec se que j’ai pu vivre il y a de sa quelques semaines. C’est à dire que ma susceptibilité peut me mener vers des chemins dangereux !

 

J’ai ressenti le mal qu’elle a pu se faire, je ne sais pas comment l’expliquer, c’est comme si deux personnes vivaient la même chose et que l’une craque et pas l’autre ! Bien sûre nos histoires de vie sont totalement différentes et c’est ce qui fait la différence.

 

Voilà comment on se fait du mal ! Et ça je pense que c’est très malheureux, puisque toutes les cartes sont entre nos mains.

 

 

 

 

 

 

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31 octobre 2006 2 31 /10 /octobre /2006 19:59

 

On ne peut croire en l’amour avec autant de force, que si l’on ressent quelque chose pour quelqu’un.

 

Cet homme d’une perfection si douce, tellement craquant, tellement poli tellement gentil, un rien timide et maladroit. Mais cet homme ne semble pas être pour moi.

 

C’est étrange, je suis heureuse d’avoir rencontrée un homme qui en apparence me semble si idéal, alors que je suis loin de l’avoir conquit, et je me demande si je vais rentrer dans ce jeu là, mais je préfère laisser le destin maître car…

 

Pourquoi j’y crois, parce qu’il est entrée dans ma vie à un moment très précis. Il a fait naître en moi ce doux sentiment de perfection amoureuse, alors que quelques jours plus tard, j’allais subir un événement qui aurait pu me faire tellement de mal. Cet homme ne se doute de rien, il ne sait rien, je le vois très peu, disons qu’il a du mal à rester en place. Il y a juste du respect entre nous, on s’échange des regards complices, mais chacun semble avoir ses priorités. Pourtant je ne me laisse pas envahir par la tristesse qui pourra être si pesante. J’ai apprit à regarder le gain de chaque événement et pas ce qui peut faire que je me sente mal. De plus je suis heureuse d’avoir rencontrée un homme tel que lui, car je n’y croyais plus vraiment. Mais je ne veux surtout pas me mettre en situation d’attente.

 

Alors oui je crois au destin, par conséquent je crois en l’amour. Même si je ne pense pas que c’est lui qui m’est destiné.

 

J’espère que ma réponse ne décevra personne, car pour y croire avec autant de force, il faudrait une histoire plus passionnante que celle-ci. Mais pour moi elle est douce, simple, et elle m’a envahit peut être que l’espace d’un instant de ce sentiment tellement magique, ce sentiment qui surprend car on ne sait jamais d’où il peut arriver. Mais c’est surtout que pour moi il est arrivé au bon moment et m’a permit de transiter.

 

 

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31 octobre 2006 2 31 /10 /octobre /2006 13:20

 

Ma vision de lamour assez utopiste, je lavoue, suggère un éclaircissement. Pourquoi un individu qui a connu ô combien déchec samuse encore à y croire, alors que la blessure est encore récente, je lai dit et je le ressens toujours : jen garde une trace. « Suis-je guérit docteur ? » telle est léternelle question. Surtout dans ce labyrinthe de la douleur psychique.

 

Mais peut-on réellement comprendre le mécanisme des émotions qui sont encore plus microscopiques que les bactéries, je dirais même que les émotions font partie de ce monde invisible, ce monde que lon ne peut pas toucher, ce monde que lon peut seulement ressentir et observer.

 

Avant de connaître ma grande douleur affective qui ma marque lan passé, je me sentais très seule, très vide. Quelque temps après, jai rencontrée ce que jappelle aujourd’hui :  lamour-illusion, un amour destructeur, un amour stérile, mais je gardais en moi, malgré la connaissance de cause, un certain espoir. Alors comment puis-je me sentir moins seule, moi vide,à lheure actuelle, alors que cette expérience aurait pu me détruire sachant que j’étais très affaiblit dès le départ ?

 

Des grands penseurs ont dit que :

 

 

  • « Se libérer de soi cest contrôler ses désirs ».Mon dieu que cette phrase me parle, surtout en ce qui concerne ma dernière épreuve, mais je ne reviendrai pas là dessus.

     

 

·        «  Être libre cest dominer ses instincts » et celle-ci ! Moi qui pensais être lié, je me rends compte que cest ce que je désirais qui mattachait !

 

 

Cest ce que jentends pas se forger : Il faut apprendre : à avoir de la retenue,  à contrôler ses pulsions, et Dieu sais que cest douloureux.

 

 

 Le mot liberté est un mot qui a un sens très large. Au départ je recherchais la liberté au sens actions : Être libre de ses actes. Mais ce nest pas une solution, disons que cest une solution à court terme. Elle apporte un soulagement sur le moment. La dualité interne qui conduit au conflit nest à mon sens que la quête didentité (et je ne parle pas de mon identité culturelle, même si elle a un rôle dune importance capitale). Cette quête mène à la liberté dêtre entant quindividu accomplie ensuite vient la liberté dagir. Je suis donc à la recherche de lunité : lunité de mon coeur, lunité de mon âme, lunité de ma réflexion et lunité de mon corps, Comment adhérer à luniversalité si déjà je natteint pas lunité en moi ?  Le conflit avec lextérieur que jappelle « épreuve » ma renvoyé à ma propre dualité, c'est-à-dire face à ma zone dombre, que je veux réduire, afin datteindre mon unité. Mais je ne désire pas une unité parfaite car il me faudrait plus dune vie pour latteindre, et je ne crois pas en la réincarnation.

 

Cependant tout cela ne répond pas à la question pourquoi jy crois encore ?ou plutôt qu’est ce qui fait que j’y crois encore. Tout d’abord je dirai que cest en prenant ce chemin que je ne ressens plus se vide de départ en moi, cela malgré la douleur liée aux sentiments amoureux, ou plutôt à mes désirs, qui aurait pu menfoncer dans se vide, et bien je me sens bien mieux quavant lépreuve.

 

Je me sens plus ouverte, et puis il y aussi autre chose, mais je développerai ça dans mon prochain article, car, je pense que ça mérite que jen laisse une trace sur mon blog, et je pense que c'est ce que tu entends par "Est- ce que tu as pensé à écrire ce qui te traverse ? Ce qui t’habites en ce moment ? ".

 

Mais je vais rajouter une chose importante, et je le pense très sincèrement, si moi jy crois encore alors beaucoup peuvent y croire !  

 

Et pour te répondre, directement, je vais t'avouer que cest toi qui ma aidé a avoir cette démarche, jaurai pu me perdre en essayant de comprendre lautre mais cette phrase que tu mas dit raisonne encore en moi, je pense que cest à partir de là que nous nous sommes vraiment rapprochée «  je suis ce que je ressens et non pas ce que ressens lautre » tu as vu ma détresse : jai garder le cap c'est-à-dire moi et mon ressenti , et jai trouvé le chemin qui mène à lunité de soi, mais je suis loin dêtre arrivé à bon port et jen ai complètement conscience.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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10 septembre 2006 7 10 /09 /septembre /2006 15:54

 

Apprendre à se connaître c’est aussi se chercher à travers l’expérience des autres, une histoire, une sagesse, une expérience, même dans un article tiré de revue non spécialisé, certaines métaphores utilisées par les autres ont parfois un sacrée échos en nous…

 

Cependant, parfois on n’est pas prêt, il y a quelques mois en arrière j’avais commencé à lire un livre qui m’avais captivé : Femmes qui courent avec les loups, de Clarissa Pinkola-Estes j’ai d’ailleurs écris quelques articles à son sujet, je suis arrivée à la moitié du livre et je l’ai mis de coté. Au départ je pensais que c’était parce que je n’arrivais pas à la suivre parfois et que ses analyses de l’esprit humain ne sont en fait que des interprétations, c’est comme si on rentrait dans l’esprit d’une personne qui nous est inconnu, on ne peut pas toujours la suivre.  

 

Mais en y réfléchissant bien, en lisant toute ses analyses si pointus et si complexes à la fois, Clarissa Pinkola-Estes nous force à ouvrir certaines portes de notre esprit, là où sont rangés les dossiers que l’on pense classés, histoires du passée. J’avais alors l’impression  de soulever une bouche d’égout, au départ on sent l’odeur très forte mais au fur et à mesure qu’on avance, on pourrait penser s’habituer à l’odeur, mais se fut l’inverse qui se produit pour moi, l’odeur fut de plus en plus forte, nauséabonde et forcement insupportable. La moindre émotion, le moindre  sentiment ou réflexe de nous les femmes, mais aussi de l’homme parfois, est décrite et expliqué, et l’écho de nos histoires nous renvois à certaines émotions resurgissant et elles ne veulent plus s’arrêter.  

 

 J’ai du le mettre de coté, pour le reprendre il y a quelques jours en arrière. On verra ce que ça va donner, mais on m’a dit que la fin vaut vraiment le coup d’être lu !

 

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4 septembre 2006 1 04 /09 /septembre /2006 18:57

Un blog commencé lors d’une tempête, quand je remonte dans le temps j’ai l’impression que c’est loin…

 

Avec la rentrée, je me sens d’humeur joyeuse, et je fais tout mon possible pour avoir le meilleur contact avec mes collègues, tous sans exception, du directeur à l’employé de mairie qui passe une fois par semaine. Ne pas être avare d’un sourire, parfois j’ai l’impression d’en faire trop ! Mais je me dis que seul les doués d’intelligence seront l’apprécier. Douceur, gentillesse, serviabilité, écoute sont des mots d’ordre, qualités de nombreux de mes collèges, j’apprécie vraiment c’est très important pour moi, et je veux le rendre. L’an passé j’ai rencontré des personnes formidables et cette année j’ai la chance de travailler avec certaines d’entre elles. Cependant je ne suis pas au pays des bisounours…  Il y a toujours un personnage avec qui ça ne peut pas passer, et c’est tout à fait normal mais tant pis. Un caractère assez froid et forcement je cherche la porte non pas pour lié une relation durable, mais j’aimerai simplement me sentir à l’aise, cependant je ne jouerai pas au contorsionniste pour y arriver. Mise à par ce petit nuage. Mon humeur est comparable à ce soleil qui nous envahie. Continuer son petit bout de chemin, tel est notre destin à tous.

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31 août 2006 4 31 /08 /août /2006 18:41

 

Juste à la fin des vacances j’ai terminer un livre très intéressant: « Vérités et mensonges de nos émotions ». Ce livre est très clair et très facile à lire, mise à part un chapitre  où j'avoue n'avoir rien compri (le concept de résilience :s)... Tout le long de l'ouvrage Serge Tisseron explique que certaines émotions ressenties  ne nous appartiennent pas forcement, ces émotions ou plutôt ces réflexes émotifs sont souvent assimilés durant  l'enfance, disons qu'il nous arrive de prendre des émotions de nos proches et que nous nous les approprions. Forcement à un moment donné de notre vie, nous ne comprenons pas certains vieux réflexes. Je dirai que c'est comme une personne empathique, ci celle-ci ne sait pas faire la part des choses entre ses émotions et les émotions de l'autre, les émotions de l'autre la parasite parce qu'elle ne lui appartienne pas. Hé bien c'est un peu se qu'explique Serge Tisseron dans son ouvrage, disons que c'est ce que j'ai retenue.  

 
Mais j'ai vraiment apprécier le dernier chapitre et je voudrai partager un passage car il explique un chose qui me semble essentielle : il donne "la clé" ou l'une des clés, peut importe. L'un des objectifs du psychothérapeute est tout d'abord l'écoute, et pour lui la clé c'est d'aide la personne en "mal d'être" à déculpabilisé! Voilà une clé et celle-ci me semble très très intéressante! 
 

Malheureusement c’est bien vrai nous sommes bien trop souvent intransigeant avec nous même : « Pourquoi j’ai réagit comme ça pourquoi je n’arrive pas à ma contrôler pourquoi je ne suis pas maître de moi de mes émotions pourquoi je n’y arrive pas alors que les autres oui, j’ai mal agit j’aurais du…   

 

On ne peut pas s’en vouloir de s’en vouloir ! C’est quand même le comble !Vivre en regardant devant soi et si les soucis persistent ne plus penser aux erreurs passées mais tenter d’arranger les choses aujourd’hui avec ce qu'on a entre les mains, pourquoi l’être humain se maltraite ?   

 

Un ancien maître tai-chi m’a un jour dit que dans la vie il n’est jamais questions de chance, mais que parfois nous sommes prêt à saisir certaines opportunités qui se présentent à nous et à d’autre moment non, voilà une belle sagesse, je ne sais pas si c’est totalement vrai, mais j’ai envie de dire en voilà une jolie raison de déculpabiliser : )

 

 

 

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13 août 2006 7 13 /08 /août /2006 23:54

 

Voila petit à petit une forme qui se dessine en moi, je sens que ma quête prend forme et que je sais maintenant ce que je cherche… Pas facile de me comprendre pour celui qui me lit, mais, je ne saurais trouver les mots justes pour expliquer se qui se passe en moi (d’ailleurs ce n’est pas ce que je cherche). Alors qu’est ce qui se dessine en moi, quelle forme et quel contour ? C’est simple si je prenais un feuille  de papier blanche je dessinerai : un visage, un visage qui baisse les yeux vers le sol, symbole de l’humilité (certains y verraient la peur d’affronter le monde, mais moi je vois la confiance : connaître le chemin et avancer les yeux fermés !); les mains jointes tournées vers le ciel, symbole de l’espérance; et un gros cœur rouge symbole de la sincérité.

 

Humilité espérance et sincérité, voila trois mots qui s’allient dans un être. Et pour les lier j’utilise le mot confiance.

 

Pas besoin de traverser les mers et les déserts, l’isolement est le remède à la fuite, car personne ne peut se séparer de son dialogue interne, alors il suffit de s’écouter et l’isolement permet de prendre du recul, s’affronter, on ne sait jamais ce qu’on va trouver derrière…

 

 

 

 

 

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