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12 juin 2008 4 12 /06 /juin /2008 19:55


Bon voilà monsieur, je vais te dire pourquoi, je vais te le dire, je vais même hurler !!!

 

J’aimerai avoir ta vie, oui ta vie,

Je n’aimerai pas être dans ta vie, j’aimerai avoir ta vie !!

 

J’aimerai avoir la fraîcheur qui se dégage de toi,

J’aimerai avoir l’ambition comme toi

J’aimerai avoir des rêves comme toi

J’aimerai être sûre de moi comme toi

J’aimerai m’imposer comme toi

J’aimerai être grande comme toi

J’aimerai croire en moi comme toi

J’aimerai entreprendre comme toi

 

Oui j’ai envie de ce que tu es, et non pas de ce que tu as

car je préfère être plutôt qu’avoir…

 

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28 mai 2008 3 28 /05 /mai /2008 22:29

Renaître de ses cendres,

 

Un sphinx aux couleurs flamboyantes s’est posé, un matin sur le rebord de ma fenêtre. Il s’est présenté à moi comme un présent de la vie, chaque couleur symbolisait mille promesses, mille jeunesses, mille joies, mille bonheurs, mille rêves, mille douceurs, mille espoirs…

Il est impressionnant de part sa grâce et sa majesté, mais comme chaque chose merveilleuse, il se rend en partie inaccessible, il s’en va et revient à sa guise. Cependant l’oiseau majestueux est bienveillant, il me visite chaque matin à l’heure précise où l’esprit n’est ni tout à fait réveillé, ni tout à fait endormi, mais dès que j’ouvre complètement les yeux, le sphinx au mille vertus s’élance dans les airs et laisse derrière lui la promesse qu’il reviendra,…

Pourtant les années passent et le sphinx me visite de moins à moins souvent, car je n’ai pas fait l’effort de lui parler, je n’ai pas fais l’effort de lui demander comment profiter de ses vertus de peur qu’en lui adressant la parole, je me rends compte de l’irréalité de l’oiseau… Mais un jour, je me suis aperçut qu’à force de ne plus lui apporter de l’importance, il dépérit peu à peu, qu’à force de ne plus croire en ses vertus il s’affaiblit. Le bel oiseau a perdu ses belles couleurs symboles de joie de promesse de jeunesse, de rêve de bonheur. Pourtant, il lui reste toujours la douceur et l’espoir,...

Alors de peur de le voir dépérir, je le questionne et il m’apprend qu’il est immortel, et qu’il a pour don de renaître de ses cendres : il vit, il meurt au moment où son protégé se rend compte qu’il peut revivre et renaître de ses cendres, et là il devient plus beau plus grand et plus fort qu’auparavant, certaines vertus se maintiennent et d’autres disparaissent pour laisser place à de nouvelle. La jeunesse laisse place à la sagesse, la douceur laisse place à la bienveillance, la promesse laisse place à l’accomplissement, l’espoir laisse place au courage…

Soudain ses cendres se déposent sur le sol, face à moi. Cet instant semble interminable, ses rêves, ses joies, ses promesses sont réduites en poussière. Une crainte mêlée d’angoisse m’envahit alors, bel oiseau pardonne moi, je n’ai pas su t’entendre, je n’ai pas su avoir confiance en toi.

Je ne sais combien de temps il te faudra pour renaître de tes cendres, je ne sais combien de temps il te faudra pour grandir à nouveau, car avant de mourir le sphinx n’a pas eu le temps de tout me dire, peut être faut-il attendre que dois-je faire de ses cendres ?

Tes cendres sont encore fertiles,… oui la vie est un don, un don précieux, on ne se rend compter de sa valeur qu’avec le temps, elle ne peut être apprécier que lorsque le temps et les épreuves l’ont marqué, oui bel oiseau voilà ce que me disent tes cendres.

 

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22 avril 2008 2 22 /04 /avril /2008 21:26

Toc toc toc…

-Qui est là?

- Moi Ch,

- Je te pensais loin, tu m’as oublié.

- Oui en effet,… Cependant je reviens vers toi car tu n’as pas complètement réglé ton problème avec moi. Je reviens à toi car je suis là pour te montrer un chemin… un chemin que tu ne connais pas… un chemin dont tu ne t’imagines même pas l’existence. Tu penses que c’est de l’amour, mais tu le vis comme une obsession.

- Pourquoi es-tu revenu ? Je te pensais libéré de moi ...

- Et pourtant je suis là, plus présent que tu ne tu souhaiterai, mais je dois te montrer que tu dois visiter un chemin, ou plus exactement un petit sentier sinueux appelé impossible, car tu dois comprendre sa présence, car il te torture.

- Je ne peux aller sur le sentier impossible, comme son nom l’indique,

- Non, en effet, on ne peut aller sur le chemin de l’impossible, mais pour l’effacer on doit comprendre sa présence. Si tu sais qu’il existe, c’est qu’il a une raison d’être. Le problème pour toi c’est que ce sentier tortueux que l’on appelle «  sentier impossible » coupe le sentier que l’on appelle possible. Je suis là pour te le montrer, mais c’est à toi de savoir et de comprendre pourquoi tu l’as mis sur le sentier possible. Tu ne vois que le sentier impossible car il barre le route au possible, pour pouvoir l’effacer tu dois le comprendre, saches qu’il n’existe qu’un sentier impossible, il s’agit du père, ou des frères ou des oncles. On les appelle même les sentiers interdits, ses sentiers sont utiles, car ils aident à définir les sentiers possibles, ton sentier.

- J’ai l’impression que le sentier impossible a pris trop de place, il a coupé les autres sentiers.

- Mais pourtant moi, je ne te suis pas impossible, je ne suis ni ton père, ni ton oncle, ni ton frère…Pourtant tu m’appelles et tu me vis comme le sentier impossible ? Pourquoi m’appelles tu ?

- Je ne connais que les sentiers impossibles, j’aime le sentier impossible, pourtant je sais qu’il n’est pas à sa place. Le sentier impossible est jaloux, le sentier impossible est protecteur, le sentier impossible m’a toujours dit de me méfier des sentiers possibles, car selon lui on ne sait jamais trop ou ils mènent. Le sentier impossible veut me montrer les sentiers qu’il juge possible, mais comme il s’agit du choix du sentier impossible, alors je les associe au sentier impossible, j’ai l’impression que tous sentiers choisis ou appréciés par le « sentier impossible » sont impossibles, car ils lui ressemblent !

- Alors comment faire pour que tu puisses déplacer le sentier impossible et le remettre à sa place ?

- il faudrait être plus grande que lui.

- Existerait-il un sentier qui soit possible sans qu’il soit interdit… et donc impossible.

 - Si je suis assez grande et que le sentier possible me donne l’envie et l’attirance, alors le sentier impossible retrouvera sa juste place, il sera toujours aussi beau, aussi loyal, aussi protecteur, mais il ne sera plus un obstacle.

- Les routes bougent car le monde est en perpétuel déplacement, un jour le sentier possible croisera ta route sans effort et il n’y aura plus de sens interdit.

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16 décembre 2007 7 16 /12 /décembre /2007 20:56

Je suis devenue enseignante dans un centre de formation, j’aime mon travail malgré, le nombre d’heure insuffisant pour préparer mes cours, malgré le manque de moyen pour bien organiser mes cours, et malgré le manque d’encadrement dont j’aurai bien besoin.

Cependant j’aime plutôt bien mes élèves, mais jeudi après-midi, ils ont été bien difficiles. Même si ils ont travaillé, tout en chahutant, je n’étais pas trop en colère contre eux, je connais le public, mais ma collègue a eu la bonne idée de les mettre en autonomie (livré à eux même) toute la matinée : il rient, s’amusent, chantent, rigolent,… donc forcement comment je les récupère dans un état non propice au travail !

Je ne leurs en veux pas, mais je leur fais bien comprendre que je veux terminer le chapitre et qu’ils sont très en retard.

Le lendemain matin, un léger mieux se fait sentir, mais quand ils se sont amusés à me lire la pièce de théâtre en ne prennent pas ça au sérieux ! Je leur ai dit que c’était pitoyable.

Avant la fin du cours, un silence s’installe, l’une de mes élèves me dit, qu’il ne fallait pas que je pense qu’ils ne m’appréciaient pas, qu’ils sont comme ça : il aiment rire ensemble, et ils ne prennent pas au sérieux leur travail. Qu’ils aiment bien rire et qu’à mes cours ils travaillent ! ( là je me demande si elle s’attend à un merci en plus !), je le vois bien qu’il travaille, car quand ils font leurs fiches ils sont très silencieux, mais elle m’a aussi fait comprendre qu’ils ont pris de très mauvaise habitude, et que, le « ral le bol » de l’ancien professeur en est en partie la cause, «  vous savez madame, avec vous au moins il y a un cours et des supports !! Mme X… nous donnait juste des fiches, chacun choisissaient la matière sur laquelle il veut travaillé: soit math, histoire… », là je comprends beaucoup de chose, l’enseignante a semé les graines de ce manque d’envie de travailler, je pense qu’elle aussi a ses raisons, et je ne la juge pas.

Ce moment m’a beaucoup touché, car chacun de mes élèves ont pris le temps de m’expliquer, ce qui se passe, leurs mauvaises habitudes, leurs manques de sérieux, mais il ne veulent pas que je pense qu’ils me manquent de respect, je suis contente qu’il aient vu que mes cours étaient structurés. Mais je ne sais pas trop comment cela va évoluer !

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17 octobre 2007 3 17 /10 /octobre /2007 14:21


 Je n’en sais rien, je ne l’aime pas, je l’évite, mais parfois elle arrive à me toucher, je n’aime pas ses manières : sa façon de se la raconter, mais ce qui fait peine c’est de voir ce qu’elle transpire à travers sa vantardise. Je l’évite, mais quand je l’ai vu hier me regarder de loin en me souriant pour que je l’approche, je n’ai pas oser l’ignorer, alors je suis allée la voir, et je lui ai demandé si elle allait bien, ( ça dois faire un mois que je ne lui ai pas demandé ) elle était malade… elle demande à une élève de m’apporter un tabouret sans me le demander, et là je lui dis que non et que je dois partir, je suis pressée, mais elle avait besoin de se confier et là elle me racontait qu’elle est encore tombé sur un c… ! Je l’écoute et je ne sais pas trop quoi lui dire, je lui dis qu’elle a bien fait de lui dire non et de s’être respecté… je ne pouvais rien lui dire d’autre,… elle a sourit, ça lui a fait plaisir, et moi j’étais un peu triste de ne pas avoir était fidèle à la promesse que je m’étais faite, c'est-à-dire ne plus parler ni de ma vie privée ni de l’écouter me parler de la sienne, je n’aime pas son hypocrisie,…

Elle m’a fait de la peine, et je me suis dit que c’est bien triste d’être dans sa peau… !

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12 octobre 2007 5 12 /10 /octobre /2007 12:49


Vous avez déjà fait du théâtre ??! Moi si j’ai l’impression que c’était dans une autre vie !! Non j’en ai fait quand j’étais plus jeune beaucoup plus jeune, j’adorais ça et plus encore, je mettais en scène nos histoires, je me débrouillais pour trouver tout ce qu’il fallait pour créer un paysage de forêt, tout y passait, même la couverture verte de mon petit frère et les fleurs en plastique de la salle à manger !! Ma mère ne me disait rien elle me laissait faire, j’en ai un souvenir merveilleux !

Si vous avez déjà fait du théâtre, avez-vous déjà eu peur de ne pas retenir votre texte ? Ou avez-vous déjà eu un trou de mémoire, sur scène ?

Alors pour ma part, peur de ne pas retenir mon texte oui, ou début. Mais je n’ai jamais perdu mon texte, je le faisais vraiment avec plaisir !

Je ne joue plus depuis bien des années !! Du moins c’est se que je pensais…

 

La vie est faite de coïncidence, tout le monde le sait bien, en psychologie on appelle cela des synchronisités. Et bien pour moi elles se sont succédées :

Trois mots : persécuteur / Victime / Sauveteur

Au hasard de mes lectures, je suis tombée sur un article assez intéressant :

 

http://www.acsm-ca.qc.ca/mieux_v/images/BB06/DI-067.pdf

 

J’ai également vu un film qui parle d’exactement le même thème : Oui, mais… avec Emilie Dequenne et Gérard Jugniot

 

Dans le théâtre de la vie, on retrouve trois rôles qui sont les premiers rôles de la pièce de théâtre très largement diffusée dans le monde relationnel « Les jeux psychologiques ». Alors ces trois personnages se nomment : SADO, MASO... et ZORRO !!

Au départ, ces petits personnages adoraient jouer ensemble, ensuite ça devient lourd. Mais le grand malheur, c’est qu'ils souffrent de jouer ensemble, personne n’a le beau rôle et tout le monde est triste, car au fur et à mesure que les scènes se succèdent, ils jouent par obligation ! Ensuite, ils sont aspirés dans la spirale infernale qui fait qu’ils jouent parce que c’est plus fort qu’eux !! Forcement il y a des conséquences : les joueurs fatiguent et souffrent !

Exemple : On pourrait penser que Zorro va souffrir à cause de Maso, car Maso lui demande beaucoup trop et que Zorro en a assez de sauver Maso des griffes de Sado !!

Mais quand on comprend le jeu entre les trois, on se demande plutôt pourquoi Zorro ne laisse pas tomber le masque et pourquoi il ne redevient pas se bon vieux notable de Don Diego de la Vega, qui est certes moins sexy, mais qui lui ne se fait pas trop ch…. Et finalement lui il pourrait dormir un peu plus tranquillement toutes les nuits, il aurait bien meilleur mine et serait d’autant plus charmant, car il redeviendrait lui même ! Il pourrait, si il le souhaite ressortir de temps en temps le masque pour retrouver le goût d’aider les autres, mais Zorro, ou plutôt Don Diego devrait plutôt s’occuper de lui car il risque de tomber bientôt dans le rôle de victime, et se transformer en Maso !!

 

Je pratique ces scènes depuis quelque temps et je me rends compte que je ne veux plus y jouer, pas plus tard qu’hier, je pensais que j’avais rendu le costume… Mais ce matin, je me suis rendu compte que j’avais ca dans la peau … Le changement c’est pas si facile !

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7 octobre 2007 7 07 /10 /octobre /2007 16:50

Actuellement je suis entrain de me poser des questions essentielles quant à mon avenir professionnel. Et je lis beaucoup, des livres mais aussi beaucoup d’articles car je trouve que les articles sont plus clairs, ils vont à l’essentiel ! J’en ai trouvé un qui traite du thème principal de mon blog, ma quête de moi ! Ou plutôt la recherche de soi. Cet article décalque exactement mon cheminement, mes interrogations, je souhaiterai en partager une partie et surtout laisser une trace théorique sur mon blog de ce cheminement.

 

RÉUSSIR (DANS LA) SA VIE

Source: VANASSE, Nancy. Coup de pouce, Juin 1997

 

 

À la recherche de soi

«Les gens font ce que la société attend d’eux, dit Line Trépanier, plutôt que ce qu’ils sentent qu’ils devraient faire.» Plutôt que de suivre leur intuition et écouter leur petite voix intérieure. «Si on passe à côté de ça, ajoute MmeTrépanier, on passe à côté de sa vie.»

Selon Jacques Languirand, animateur de radio et philosophe, la quête de «l’être» serait un processus normal de l’évolution de la personne. «Mes recherches sur les cycles de la vie m’ont appris que, dans la première partie de notre vie, notre préoccupation est de réussir dans la vie, c’est-à-dire avoir un emploi,  accumuler des biens, de l’argent, etc. À partir de la quarantaine, on met de plus en plus l’accent sur un autre aspect: réussir sa vie. On commence alors à être attiré par des valeurs qui sont nettement différentes.»

 

Etape 1 : observer ses émotions sans jugement

«Nous devons retrouver notre faculté d’être en contact avec nos émotions sans les juger, puisque le

Jugement constitue le voile qui empêche de faire la lumière sur ce qui nous habite, sur ce que nous sommes.»

 

Etape 2 : faire le vide

 

Après avoir franchi la première étape et fait taire notre «mental», qui rationalise, qui analyse, qui paralyse, on est prêt à adopter des attitudes qui favorisent l’évolution de la conscience. Quelles sont-elles? Pour Jacques Languirand, une des clés consiste à trouver refuge dans la solitude, dans le silence. «Fermez la télévision et la radio de temps en temps, conseille-t-il. Levez-vous avant les autres et demeurez dans le silence, lisez le journal ou ne faites rien pendant une demi-heure, jouissez du temps qui passe, prenez conscience de l’espace et regardez en quoi ça fait vibrer quelque chose en vous.»

 

Line Trépanier recommande pour sa part de méditer, de suivre des cours de yoga ou de taï chi, d’entreprendre une thérapie, de retrouver le contact avec la nature, de marcher, d’écouter de la musique relaxante, de lire des ouvrages sur le sujet... «Mais, insiste-t-elle, d’abord et avant tout, il faut savoir écouter sa petite voix intérieure. Cessez de donner votre pouvoir aux autres. Consulter peut s’avérer d’un grand secours, mais un moment donné, il faut revenir à soi. Ce n’est pas un gourou, ni un maître, ni un thérapeute, ni un livre qui va vous apporter la réponse. Ce sont certes des guides utiles, mais il est primordial de comprendre que la clé se trouve à l’intérieur de soi.»

 

Comment identifier les buts que l’on veut atteindre? Comment les définir, les choisir?

Voici sept questions fort pertinentes pour effectuer cette démarche.

1. Quelles sont pour moi les principales valeurs de la vie? La réussite sociale, la compassion universelle, la sécurité matérielle, la santé, la famille?

2. Quels sont en ce moment mes trois principaux objectifs? (Par ex.: passer mes examens, perdre 8 kilos, apprendre à conduire une voiture, me marier, etc.) Répondre à la question en 30 ou 60 secondes, sans se donner le temps de réfléchir (cela doit fuser spontanément).

3. Comment utiliserais-je mon temps si je n’avais plus que 6 mois à vivre? Plus que 6 heures?

4. Que ferais-je si, demain, je gagnais un ou deux millions à la loterie?

5. Qu’est-ce que j’ai toujours voulu entreprendre, mais que je n’ai pas fait par peur d’échouer?

6. Qu’est-ce que j’aime le plus faire? Qu’est-ce qui me procure le plus d’estime de moi-même, la plus grande satisfaction? (Cette question est sans doute la plus importante de la série.)

7. Qu’est-ce que je rêverais d’entreprendre si j’étais sûr de ne pas échouer?

 

Références:

 

Pierre Pradervand. Les Vraies Richesses, pistes pour vivre plus simplement

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14 août 2007 2 14 /08 /août /2007 17:36

Nous sommes aujourd’hui à la mi-août ! Enfin j’ai cru qu’on n’y arriverai jamais, je n’aime pas les vacances et pourtant, j’en avais tant besoin, pourquoi j’en sais rien, mais deux mois ça fait tout de même long…

Le pire c’est que je me dis que je devrai profiter de cet état stationnaire, car je ne sais pas ce qui peut m’arriver à la rentrée !

Déjà je vais retrouver l’école ou je travaille, mais pour combien de temps ??? J’ai une super opportunité de travail pour quelque mois et je peux suspendre mon emploi actuel à l’école si le directeur est d’accord, sinon ben je devrai rompre le contrat ! J’ai toujours du mal à couper net ! je ne sais pas le faire et surtout je n’aime pas le faire. Je pense que j’en ai fini avec cet univers scolaire et « primaire ». C’est étrange mais j’ai l’impression d’avoir pris cet emploi par ce que quelque part, je devais régler quelque chose avec cet univers, avant de travailler dans ce milieu et durant toute ma période universitaire, je rêvais que mes professeurs me disaient que j’étais incapable et que je devais retourner à l’école primaire ! Etrangement après l’université c’est ce que j’ai fait…

Je rajoute à cela mon besoin d’être en contact avec des enfants, donc tout convergeait vers cet univers. Je me prépare à le quitter mais j’y grade encore un pied avec mon autre emploi du soir (soutien scolaire pour les CP). Au niveau du personnel, certains me manqueront bien et pour le reste, je dirai que je suis contente d’avoir supportée certaine personne et que j’ai su prendre du recul par rapport à certains événements.

Mais maintenant il est temps de partir vers de nouvelles aventures, et je pense être prête pour cela ! Mais ce qui est angoissant c’est de devoir attendre et de na pas savoir où je vais me retrouver les prochains mois à venir ! C’est peut être ça l’aventure…

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8 février 2007 4 08 /02 /février /2007 21:19

 

Ne pas suivre ses peurs c’est aussi ça grandir. J’apprends petit à petit à ne plus interpréter et à anticiper la réaction des autres. Lâcher prise, baisser la pression, c’est peut être ce qu’entends par là Jacques Salomé quand il parle de « créativité de l’instant ». Et qu’est ce que ça fait du bien

 

 

C’est peut être simplement ça laisser de la place à l’autre, pour mieux trouver sa place, car au final, dans une relation si simple soit-elle, l’espace peut être infini. Mais il faut peut être apprendre à se libérer de ses propres barreaux que l’on se met, sans pour autant les fixer. Mais ses barreaux sont si rassurants car ils peuvent aussi représenter un cadre.

 

 

 

 

 

 

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4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 16:09

 

Dans ce voyage en moi, j’apprends à me relire avec plus d’attention. Pendant longtemps j’ai cru que je n’étais pas libre de faire et d’aller vers ce que je désire. C'est-à-dire que pour ne pas perdre ce que j’aime, je vais restreindre mes choix et mes besoins, j’ai longtemps pensé que ce manque de liberté venait des autres.

 

J’ai fait une relecture de ce que représente pour moi la liberté, j’ai été étonné de ce que je découvre en moi. Je me sens plus libre que ce que je pense, et c’est justement ce que je préserve, c'est-à-dire que pour moi être seule c’est être libre ! J’avoue que je me suis prise au piège toute seule, l’image d’une relation à deux et de s’avoir qu’un autre va encore me prendre un bout de ma liberté m’insupporte ! Encore un personne qui va arriver avec ses besoins et je devrai encore céder un peu plus. Je pense que je peux donner énormément, mais tant que je n’arriverai pas définir exactement une limite, je ne me risquerai pas. Le souci c’est que le corps pleure ! Et que les besoins fondamentaux ne sont pas comblés.

 

 

La liberté mérite des sacrifices, mais l’Homme n’est jamais totalement libre, il faut simplement trouver le bon dosage !

 

 

 

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